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09/10/2013 - Vaincre, toujours vaincre, et ne jamais échouer

Avez-vous déjà remarqué le choix que Dieu offre à Ses fils ? Vaincre, toujours vaincre, et ne jamais échouer. Cela est possible car le Seigneur Jésus, lors de Sa mort, a conquéri pour nous le droit de triompher tout le temps. Adam prêta l’oreille au diable, et depuis lors, l’humanité n’a pas fait autre chose sinon avoir des échecs. Le diable a partagé la Terre en territoires, et les a remis à ses princes, les plus perverses et sagaces. Et, ces derniers ont agi d’une manière terriblement méprisable et sordide, ayant comme but la destruction de la race humaine.

 Toutefois, lorsque Dieu envoya Son Fils unique, pour qu’Il meure à notre place, Il mit un point final à tout cela. Notre Sauveur est venu, Il est mort pour nous, Il a vaincu toutes les « autorités » de l’enfer, en les dépouillant du pouvoir qu’elles avaient envers nous : Il a dépouillé les principats et les autorités, et il les a publiquement livrés en spectacle, en les entraînant dans son triomphe (Colossiens 2.15).

 Aujourd’hui donc, nos ennemis, Satan et ses anges, sont dépourvus de l’autorité qu’ils avaient auparavant, envers l’homme. Alors, nous pouvons vaincre, vaincre, et encore vaincre, et ne jamais échouer. Il y a dans toute la Bible, 12 promesses qui nous déclarent la victoire, et le devoir que nous avons de toujours triompher:

 La première promesse : S’il réussit à me battre, nous serons vos esclaves ; mais si je l’emporte sur lui, si je le bats, vous serez nos esclaves et vous nous servirez (1 Samuel 17.9).

Ce récit parle du défi que le diable faisait envers l’humanité. David apparut, et ôta la honte qui s’était déposée sur Israël, et de même arriva notre héro, c’est à dire le Seigneur Jésus, qui d’une manière semblable à David (le berger d’Israël qui représente notre Sauveur), vainquit le diable, et aujourd’hui nous détenons l’autorité envers lui, ainsi que ses démons. En Jésus, nous sommes plus que vainqueurs.

 La deuxième promesse : Alors Retsin, roi d’Aram, et Péqah, fils de Remalia, roi d’Israël, allèrent faire la guerre à Jérusalem. Ils assiégèrent Achaz mais ils ne purent engager le combat (2 Rois 16.5). Achaz ne fut pas un bon roi pour la Judée. Il échappa à la mort, toutefois, en raison de quelqu’un qui était vraiment un homme de Dieu : le prophète Esaïe (Esaïe 7.1-7). La Parole nous assure que malgré notre infidélité, le Seigneur sera toujours fidèle. Et, même, si le chrétien n’est pas exactement ce que le Seigneur le souhaite, il réussira, s’il croit aux affirmations faites par notre Dieu . Néanmoins, je pense qu’il n’est pas nécessaire de dire qu’il vaut beaucoup mieux être selon le souhait de Dieu.

 La troisième promesse : Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien (Romains 12.21). Quoi qu’il arrive contre vous, vous n’avez qu’une manière possible de vaincre : ne pas se laisser vaincre par le mal. L’ennemi nous étouffe, nous menace, et il fera de son mieux pour que nous acceptions notre échec. Non, pas du tout ! L’échec pour nous n’existe pas. La victoire de Jésus envers l’enfer a été versée pour notre compte. C’est comme si nous l’avions obtenue nous-mêmes. Pour triompher, il nous faut tout simplement nous établir sur la Parole, vaincre le mal par le bien.

 La quatrième promesse : Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises : Au vainqueur, je donnerai de manger de l’arbre de la vie qui est dans le paradis de Dieu (Apocalypse 2.7). Celui qui a des oreilles…Beaucoup de gens sont indifférents à propos des choses spirituelles, et voilà pourquoi ils ne remportent jamais la victoire. Pour ceux qui échouent, il n’y aura pas de récompense, mais il y en aura pour ceux qui réussissent. Ils pourront manger de l’arbre de la vie, qui est dans le paradis de Dieu. À la suite du péché, cet arbre fut gardé par une épée en feu, pour que l’homme ne mange pas de son fruit, et pour qu’il soit éternellement en péché. Cet arbre veut dire sagesse, et la connaissance de ce que nous avons besoin pour remporter la victoire (Proverbes 3.13-18).

 La cinquième promesse : Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises : Le  vainqueur n’a rien à craindre de la seconde mort (Apocalypse 2.11). La première mort s’est passée à la suite du péché d’Adam. Avec elle, l’homme fut séparé de Dieu, et jusqu’à présent nous en souffrons les conséquences. La deuxième mort veut dire la destruction éternelle, lorsque la mort même et l’enfer, avec le diable et ses anges, ainsi que les gens qui ne se sont pas convertis, seront jetés dans l’étang brûlant de feu et de soufre (Apocalypse 20.14). Tous ceux qui sont sauvés, échapperont à la deuxième mort, car ils vivront éternellement avec Dieu. Remarquez que le texte déclare que les convertis sont des vainqueurs. Ainsi, celui qui est sauvé, est un vainqueur.

 La sixième promesse : Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises : Au vainqueur, je donnerai de la manne cachée et un caillou blanc ; sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, sinon celui qui le reçoit (Apocalypse 2.17). Le vainqueur aura droit à manger un aliment qui se trouve caché aujourd’hui. Certainement, cet aliment rendra l’homme assez sage et fort pour toute l’éternité. Il recevra un fondement, dépourvu de contamination, qui ne pourra être touché par l’ennemi. Par ce fondement, il y trouvera un nouveau nom, que personne ne connaîtra, sinon lui-même.

 La septième promesse :  Au vainqueur, à celui qui garde mes oeuvres jusqu’à la fin, je donnerai pouvoir sur les nations (Apocalypse 2.26). Outre vaincre, le chrétien doit garder jusqu’à la fin les oeuvres du Seigneur.  C’est une faute très grave de mépriser toutes les oeuvres qu’Il a faites à notre place. Être pardonné de nos péchés, être guéri, et vaincre tous les problèmes, sont des choses très favorables, mais elles représentent aussi le devoir que tous les chrétiens doivent surmonter. Jésus a payé une somme très élevée pour que notre salut soit réalisé d’une manière complète : En fait, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous, nous le pensions atteint d’un fléau, frappé par Dieu et affligé. Or il était transpercé à cause de nos transgressions, écrasé à cause de nos fautes ; la correction qui nous vaut la paix est tombée sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris (Esaïe 53.4-5).

 La huitième promesse : Ainsi le vainqueur sera habillé de vêtements blancs ; je n’effacerai jamais son nom du livre de la vie, et je reconnaîtrai son nom devant mon Père et devant ses anges (Apocalypse 3.5). Le Seigneur nous raconte à propos d’une personne qui se trouvait dans sa fête, mais qui n’était pas vêtue correctement pour cet événement, et voilà pourquoi, elle fut jetée dehors.

 Il lui dit : Mon ami, comment as-tu pu entrer ici sans avoir un habit de noces ? L’homme resta muet. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains, et chassez-le dans les ténèbres du dehors, c’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents. Car beaucoup sont appelés, mais peu sont choisis (Matthieu 22.12-14). Celui qui sait qu’il est un vainqueur, jamais ne risquera d’être jeté dehors, car il sera habillé par le propre Seigneur de la fête. Son nom sera gravé dans le livre destiné aux fils de Dieu.

 La neuvième promesse : Le vainqueur, j’en ferai une colonne dans le sanctuaire de mon Dieu, et il n’en sortira jamais plus. J’écrirai sur lui le nom de mon Dieu et le nom de la ville de mon Dieu, la Jérusalem nouvelle qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, ainsi que mon nom nouveau (Apocalypse 3.12). Même en connaissant le contenu de ce verset, il y a encore beaucoup de gens qui luttent, recherchant un pouvoir séculier, lorsqu’en fait, nous pouvons vaincre, toujours vaincre, sans jamais échouer face à ce qui nous intéresse : le Royaume de Dieu.

 La dixième promesse : Le vainqueur, je lui donnerai de s’asseoir avec moi sur mon trône, comme moi-même j’ai été vainqueur et je me suis assis avec mon Père sur son trône (Apocalypse 3.21). La Bible nous déclare que ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et ce qui n’est pas venu au coeur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment (1 Corinthiens 2.9). Partager la gloire et le pouvoir du Seigneur, voilà le privilège de ceux qui sont des vainqueurs.

 La onzième promesse : Viens ! Alors je vis un cheval blanc. Celui qui le montait tenait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre (Apocalypse 6.2). Toute personne qui s’établit sur la Parole de Dieu doit vaincre, toujours vaincre, et ne jamais échouer.

 La douzième promesse : Tel sera l’héritage du vainqueur : je serai son Dieu, et lui sera mon fils (Apocalypse 21.7). Pourquoi donc attendre davantage ? Ayant conscience de tous les avantages que vous aurez, en tant que vainqueur, si vous souffrez un déclassement, c’est à vous la faute, absolument. Remarquez ce qui se passera avec ceux qui n’ont pas réussi : Mais pour les lâches, les infidèles, les êtres abominables, les meurtriers, les prostitués, les sorciers, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang brûlant de feu et de soufre : c’est la seconde mort (Apocalypse 21.8).

 R.R. Soares

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