Notre participation dans l´oeuvre de Dieu n´est pas une simple action, mais une chose d´une importance grandiose, car, bien que ce soit le Seigneur qui opère des merveilles dans notre milieu, Il a besoin de notre coopération pour que l´oeuvre soit faite. Cela est incroyable et est dans les Ecritures (Mc 16.15; Ac 1.8, Ml 3.10). Le salut des perdus dépend de notre instrumentalité, pour les dîmes, les dons et de notre consécration à l´Omnipotent. Mais il est important de savoir qu´Il ne peut nous utiliser si nous sommes dans le péché.
Dieu nous appelle de coopérateurs (1 Co 3.9) et, c´est certain, cela n´est pas juste un language flatteur, mais une vérité qui, si comprise et pratiquée, nous conduira à de plus grandes réalisations. Donc, consacrez-vous à Lui et évitez tout engagement avec des pratiques condamnées par les Ecritures. En agissant de cette manière, vous n´étendrez pas vos mains vides de pouvoir et sales de choses immondes. Nous sommes les seuls responsables pour faire l´oeuvre divine dans notre génération, pour cela nous ne pouvons fauter.
Pendant le ministère de Jésus sur terre, s´Il n´avait pas utilisé Son autorité en expulsant les démons, les possédés n´auraient pas été libérés. De la même façon, si nous ne croyons pas au pouvoir de Dieu ni n´ordonnons que les esprits malins battent en retraite, nous vivrons avec des personnes qui ont, derrière leurs attitudes, des esprits malins prêts à tuer, voler et détruire (Jn 10.10a). Notre responsabilité est enorme, et l´accomplir signifie avoir le cellier toujours plein pour être utilisé au moment opportun.
Durant le Moyen-Âge, l´Âge des Ténèbres, Dieu n´a pas sauvé ni libéré la multitude de souffrants dû aux grandes épidemies qui fauchaient leur vies, car il n´y avait pas qui s´offre pour faire le pont, ou mieux, être Son instrument. De la même façon, de nos jours, si nous ne nous levons pour expulser des maladies, comme le cancer, zika, chikungunya et autres maux, le peuple ne sera pas libéré. Pour être du Seigneur, nous avons l´autorité pour prier et efforcer Ses anges, afin qu´ils agissent en notre faveur.
Abraham a fait une déclaration différente aux anges de Dieu qui sont allés jusqu´à lui quand le jour s´était déjà levé. Il était assis à l´entrée de sa tente. En les voyant, il a vite aperçu qui ils étaient et a couru à leur rencontre. Le patriarche, y voyant une opportunité de servir Dieu, les a invités à se laver les pieds et s´appuyer sous un arbre, pour, ensuite, leur donner du pain. Abraham a pensé que leur venue était pour manger du pain.
Les anges n´ont pas dit que le patriarche se trompait, ou que, comme êtres angéliques, ils ne mangeraient le pain des hommes. Voyez, tout pain n´est pas une chose matérielle, parce que le Très-Haut nous a donné Sa Parole. Ce pain était le symbole des révélations reçues par nous, lesquelles sont de “l´energie” à être donnée aux anges. Nous ne pouvons retirer la Parole de foi prononcée pour nous devant des messagers de Dieu, afin de terminer l´oeuvre divine.
Le symbolisme était réel. Un homme a donné du lait, du beurre et du pain aux anges. Alors, est venue la grande bénédiction: Sarah, avec un âge avancé, donnerait le jour à un fils. En apprenant la révélation, elle a ri de la nouvelle qu´elle serait mère étant une femme âgée, mais rien n´est impossible pour Dieu. Le pain de la foi fera que la promesse s´accomplisse en vous.
En Christ, avec amour,
R. R. Soares