24/09/2015 - PRATIQUE DE L’ANCIEN TESTAMENT

Et moi, quand ils étaient malades, je me revêtais d'un sac, je me privais, je jeûnais, ma prière revenait sans cesse. Comme pour un ami, pour un frère, je me traînais ; comme pour le deuil d'une mère, je me courbais, l'air sombre. 

Psaume 35.13,14

David a été déçu de voir les personnes qu´il a aidées se soulever contre lui et devenir de faux témoins. Quand cela se produit, notre première réaction est de ne pas croire à une telle attitude. Cependant, la vérité est que, dans le monde, nous aurons des moments de peines (Jn 16.33) et des déceptions. Ansi, un jour plus ou moins loin, nous serons surpris par de nombreuses personnes avec lesquelles nous avons été non seulement patient, mais aussi en qui nous avons investi toutes nos connaisances. Elles agiront de cette façon pour être éloignées de la présence divine.

Même dans l´oeuvre de Dieu, nous découvrons la trahison de qui nous avons secouru, et cela est très triste. Cela fait mal de savoir que la personne sait que sa faute a été découverte, mais, en étant interrogée, elle nie sans un quelconque embarras. C´est douloureux de constater que certains préfèrent rester dans le péché et, pour cela, ne goûteront pas au bonheur éternel. Que Dieu ait pitié de ces individus sans discernement. 

C´est incroyable comme il y en a qui se vendent au diable et mentent. Or, personne ne devrait tomber dans les pièges du malin, car, jusqu´au dernier moment, l´Esprit Saint insiste pour que la personne ne faute pas (Jn 16.13). Toutefois, beaucoup de ceux qui ont chuté, convaincus par le démon à ne pas avoir honte, se ferment et ne se confessent pas; ainsi, ils perdent l´opportunité d´être pardonnés (Pv 28.13). Mais, lors du dernier Jour, tous les verront marcher vers la perdition. 

David était pieux et, en racontant son attitude en relation aux malades, il nous fait voir que la pratique actuelle ressemble à celle de l´Ancien Testament. Nous devons changer complètement, car Jésus nous a enseigné comment procéder devant la souffrance de quelqu´un. Nous ne devons pas imiter les religieux, mais faire valoir nos droits en Christ et libérer les opprimés. En fin de compte, nous avons déjà reçu le pouvoir.

Il faut agir correctement envers des malades, car le Seigneur a emporté nos maladies. Nous avons besoin d´enseigner la Vérité à qui est en train d´enseigner et, si l´Esprit Saint nous révèle que le péché est la cause de cette détresse, il est indispensable de conduire la personne au repentir. Après, il faut juste employer l´autorité sur le mal, exigeant qu´il sorte, car nous avons le pouvoir sur le malin et ses oeuvres. Ceci est le secret qui fera beaucoup de gens être libérés par votre foi.

Le Très-Haut nous demande de guérir les malades au lieu de rester à pleurer à leurs côtés. Négliger d´accomplir la détermination du Maître est semblable à dire au pouvoir divin que son opération dans cette vie est indésirable. Mais, attention! Vous ne devez pas demander ou ordonner aux anges de Dieu qu´ils fassent l´oeuvre, car ils obéissent seulement à la voix de la Parole du Seigneur.

Quand le chrétien assume sa place en Christ et agit avec audace, le pouvoir divin agit de la même façon qu´il agissait à l´époque de Jésus. Donc, quand vous agissez, soyez ferme et déterminé, exigeant la sortie du mal. Toutefois, ne dépassez jamais la Parole.

En Christ, avec amour,

R. R. Soares